Tout à fait d'accord avec Moreau. L'inspection visuelle régulière est la clé. Un truc que je fais en plus, c'est de prendre des photos des zones suspectes avec mon téléphone. Comme ça, je peux suivre l'évolution des symptômes et montrer les clichés à un expert si besoin. C'est plus parlant qu'une simple description, surtout si on n'y connaît pas grand chose au départ.
Excellente idée les photos ! Pour compléter, si vous voyez des feuilles collantes, c'est souvent le signe de pucerons ou de cochenilles. Un jet d'eau savonneuse (savon noir dilué) peut aider, mais parfois il faut passer à un insecticide spécifique bio.
Le savon noir, c'est bien gentil, mais ça dépend de l'ampleur de l'attaque. Si Skywhisper5 a un laurier juste un peu attaqué, oui, ça peut suffire. Mais faut pas se leurrer, parfois, c'est comme vouloir soigner une pneumonie avec du miel.
Je dis ça parce que j'ai vu des lauriers complètement ravagés par les cochenilles, des vrais amas blanchâtres comme vous dites. Là, faut sortir l'artillerie lourde. Et encore, même avec un insecticide dit "bio", faut souvent s'y reprendre à plusieurs fois. Sans compter que, souvent, quand on arrive à ce stade, la plante est déjà bien affaiblie et devient plus vulnérable à d'autres problèmes, comme la maladie des taches foliaires (ces fameuses taches rondes et brunes dont on parle moins, mais qui peuvent faire des ravages). Et là, rebelote, bouillie bordelaise... Bref, un cercle vicieux.
Et puis, faut pas oublier que le "bio", c'est pas toujours la panacée. Certains produits sont peut-être moins toxiques que d'autres, mais ils restent des traitements chimiques qui peuvent avoir un impact sur l'environnement. C'est un peu comme en psychanalyse, on essaie de soigner le symptôme, mais on risque de déplacer le problème ailleurs. Faut peser le pour et le contre, et surtout, bien se renseigner sur les produits qu'on utilise. Parce que balancer du savon noir à tort et à travers, ça peut aussi déséquilibrer l'écosystème du jardin. Faut pas prendre son laurier pour un cobaye, quoi.
le 02 Mai 2025
Tout à fait d'accord avec Moreau. L'inspection visuelle régulière est la clé. Un truc que je fais en plus, c'est de prendre des photos des zones suspectes avec mon téléphone. Comme ça, je peux suivre l'évolution des symptômes et montrer les clichés à un expert si besoin. C'est plus parlant qu'une simple description, surtout si on n'y connaît pas grand chose au départ.
le 02 Mai 2025
Excellente idée les photos ! Pour compléter, si vous voyez des feuilles collantes, c'est souvent le signe de pucerons ou de cochenilles. Un jet d'eau savonneuse (savon noir dilué) peut aider, mais parfois il faut passer à un insecticide spécifique bio.
le 02 Mai 2025
Bien vu pour le coup du savon noir, Lucas. C'est souvent suffisant au début, et moins agressif pour l'environnement.
le 03 Mai 2025
Le savon noir, c'est bien gentil, mais ça dépend de l'ampleur de l'attaque. Si Skywhisper5 a un laurier juste un peu attaqué, oui, ça peut suffire. Mais faut pas se leurrer, parfois, c'est comme vouloir soigner une pneumonie avec du miel. Je dis ça parce que j'ai vu des lauriers complètement ravagés par les cochenilles, des vrais amas blanchâtres comme vous dites. Là, faut sortir l'artillerie lourde. Et encore, même avec un insecticide dit "bio", faut souvent s'y reprendre à plusieurs fois. Sans compter que, souvent, quand on arrive à ce stade, la plante est déjà bien affaiblie et devient plus vulnérable à d'autres problèmes, comme la maladie des taches foliaires (ces fameuses taches rondes et brunes dont on parle moins, mais qui peuvent faire des ravages). Et là, rebelote, bouillie bordelaise... Bref, un cercle vicieux. Et puis, faut pas oublier que le "bio", c'est pas toujours la panacée. Certains produits sont peut-être moins toxiques que d'autres, mais ils restent des traitements chimiques qui peuvent avoir un impact sur l'environnement. C'est un peu comme en psychanalyse, on essaie de soigner le symptôme, mais on risque de déplacer le problème ailleurs. Faut peser le pour et le contre, et surtout, bien se renseigner sur les produits qu'on utilise. Parce que balancer du savon noir à tort et à travers, ça peut aussi déséquilibrer l'écosystème du jardin. Faut pas prendre son laurier pour un cobaye, quoi.